Entrevue avec Mario Poirier : courtier expérimenté et spécialiste du domaine agricole

Les premières activités de l’entreprise remontent au début des années 1940, lorsque le producteur laitier Léopold Desmarais décide de vendre de l’assurance de personne comme activité accessoire à l’agriculture. En quelques années seulement, le succès de ses produits d’assurance, adaptés au milieu rural, s’étend à d’autres paroisses de la région de Saint-Hyacinthe. Son épouse Denise se joint alors à l’entreprise. Leurs fils, André et Claude, feront de même au début des années 1970.

Devenue Groupe DPA Assurances (pour Desmarais, Pinsonneault, Avard) en 2006, l’entreprise familiale ne cesse de croître au gré d’alliances et d’acquisitions. Elle dessert aujourd’hui près de 30 000 clients par l’entremise de ses trois bureaux et emploie 67 employés et courtiers. 

« Nous sommes un des courtiers d’assurance ayant la plus forte concentration de clients de l’industrie agricole en Montérégie », dit fièrement Mario Poirier. Or, la Montérégie compte près de 7 000 exploitations agricoles, selon l’UPA, et le quart des emplois agricoles de l’ensemble du Québec.

La division agricole concrétise l’expertise dans ce domaine

Mario Poirier travaille chez DPA Assurances depuis 30 ans. « J’ai commencé ma carrière comme courtier en assurances pour les particuliers et les entreprises, se souvient-il. Au départ, je n’avais pourtant aucune expérience en assurance, mais j’avais de bonnes connaissances du milieu agricole. Au fil des années, j’ai fait de ce secteur ma spécialité. »

Lorsque DPA a créé une division agricole en 2013, il en est donc tout naturellement devenu directeur – un poste qu’il occupe encore aujourd’hui. « Mes connaissances dans le domaine agricole m’aident à conseiller les clients qui doivent comprendre et gérer les risques liés à leur entreprise », dit Mario Poirier. 

Pourquoi le monde agricole est une vraie spécialité

DPA Assurances connaît très bien le monde agricole. « Je suis de la troisième génération de courtier à œuvrer dans le secteur agricole au sein de l’entreprise et on prépare déjà notre quatrième génération! », lance Mario Poirier.
 
Une bonne partie de son travail se déroule sur le terrain, ce qui lui plaît beaucoup. « Je vais régulièrement chez les propriétaires pour mettre à jour leur dossier ou pour finaliser une nouvelle proposition, explique-t-il. Il faut absolument les rencontrer pour bien comprendre leur situation et cerner quelle protection répond à leurs besoins et à leurs investissements ».

Les produits d’assurance agricole couvrent autant les fermes porcines et maraîchères qu’avicoles, ainsi que les exploitations céréalières, laitières et d’élevage. Les contrats en assurances agricoles sont très spécifiques, car les équipements, les bâtiments, les animaux et les serres sont soumis à de nombreux aléas.

« Il faut bien connaître le milieu et toutes ses particularités pour conseiller adéquatement les clients », dit Mario Poirier. « Chaque client a besoin d’être accompagné et rassuré, et de sentir qu’on le comprend, explique-t-il. Sinon, il va simplement aller voir ailleurs ». 

Il faut parfois se montrer patient face à certaines demandes… étonnantes : « Un de mes clients refusait d’assurer ses deux poulaillers, raconte Mario Poirier en souriant. Il ne voulait en assurer qu’un seul, parce qu’il ne voyait aucun risque que ses deux poulaillers subissent un incendie le même jour! »

La plus grande récompense de Mario Poirier? Lorsqu’un client lui dit « merci d’être là » lors d’une réclamation.

Un secteur toujours en mouvement

En trente ans, Mario Poirier a été témoin des nombreux changements qu’a traversés le secteur agricole. « C’est un domaine qui a beaucoup évolué. Par exemple, illustre-t-il, on ne parle plus désormais de fermiers, de terres ni de fermes, mais plutôt d’entrepreneurs agricoles et d’entreprises à vocation agricole. »

Les entreprises sont de plus en plus grosses. Elles ont de plus en plus recours à des processus informatisés et des technologies complexes. « Les agriculteurs doivent fréquemment investir. Il faut comprendre ce que les nouveaux appareils apportent à la production pour offrir une protection d’assurance adaptée », dit Mario Poirier. 

En fait, les analyses de risque diffèrent d’un exploitant à l’autre et seul un courtier peut établir l’adéquation d’un produit avec un besoin spécifique. « Chaque dossier est un nouveau défi, de sorte que j’apprends encore tous les jours. »

C’est cette passion et cette expérience du monde agricole qui font de Mario et de ses collègues chez DPA Assurance les meilleurs conseillers en assurance pour les exploitants agricoles. N’hésitez pas à nous contacter pour nous parler des particularités de votre entreprise.